A PROPOS

 
 

Pictor est une société de production indépendante, basée à Paris, fondée par Adrien Bretet, primé par un César en 2020 pour le court-métrage, Pile Poil.

Chez Pictor, nous aimons quand la narration s’empare de faits rĂ©els.

Des histoires. Mais vraies.

Notre ligne éditoriale se situe à la croisée de la fiction et du réel : des récits intimes et incarnés qui résonnent avec le monde contemporain. Et une volonté claire : rencontrer le public.

Nous avons cette folle envie de raconter le réel autrement avec des projets :

  • 'characters driven’ : centrĂ©s sur des personnages forts, attachants, parfois oubliĂ©s ou ignorĂ©s

  • ‘based on true events’ : inspirĂ©s par des faits rĂ©els, des archives, des rĂ©cits intimes

  • dans une dĂ©marche de ‘creative fiction’ : des histoires menĂ©es par des autrices et auteurs animĂ©s par une vision personnelle et stimulante.

L’idĂ©e : produire des films qui parlent du rĂ©el, de l’intime, de ce qui nous traverse sans faire de bruit.

Nous accompagnons l’écriture de scĂ©nario, trouvons des financements et pilotons le tournage de films depuis 2018. 


 

“PICTOR”

Pictor est tirĂ© de ‘pictura’ terme latin qui dĂ©signe la peinture.

En Europe, au Moyen-Âge, on pense que Dieu, tantĂŽt architecte, sculpteur ou gĂ©omĂštre, a créé toute chose Ă  partir du nĂ©ant, “ex nihilo”. Les Hommes observent la nature et la considĂšrent comme une oeuvre parfaite rĂ©alisĂ©e par le peintre divin, “Deus Pictor”.

Les artisans-peintres sont des fidĂšles copistes qui reproduisent dans leurs tableaux cette crĂ©ation sacrĂ©e. Les “artisans” se regroupent en vue de rĂ©glementer leur profession : ce savoir-faire est enseignĂ© au sein de corporations.

A la Renaissance, le regard posĂ© sur le monde change. Progressivement, les artisans s’émancipent et revisitent leur pratique : la nature n’est plus perçue comme une Ɠuvre divine et immaculĂ©e.

A partir de son imagination, le peintre s’autorise dĂ©sormais Ă  inventer des images grĂące Ă  des formes personnelles, inĂ©dites, originales. Symboliquement, la crĂ©ation n’est plus rĂ©servĂ©e au “Deus Pictor” et Ă  ses “artisans”. C’est l’affaire de tous les ĂȘtres humains.

Un nouveau statut apparait : c’est la naissance de l’artiste.

 

 

Adrien Bretet
Fondateur de Pictor

J’ai construit un parcours hybride (pas vraiment un long fleuve tranquille) qui m’offre aujourd’hui une approche pragmatique de mon mĂ©tier, une curiositĂ© toujours en Ă©veil et l’envie de faire des films avec exigence, patience et enthousiasme.


J’ai commencĂ© par des Ă©tudes universitaires en histoire, histoire de l’art et gĂ©ographie. Ensuite, je me suis formĂ© au Conservatoire d’Art Dramatique comme comĂ©dien et suis passĂ© par le théùtre. Puis, j’ai eu envie de monter des projets de A jusqu’à Z et j’ai dĂ©couvert le mĂ©tier de producteur.

AprĂšs plusieurs annĂ©es Ă  travailler dans des sociĂ©tĂ©s de production de films documentaires, de publicitĂ©s, de fiction (merci la vie), j’ai fondĂ© Pictor en 2018.

J’ai appris mon mĂ©tier en le pratiquant, avec de grandes aventures humaines (et parfois plus d’embĂ»ches que prĂ©vu). J’ai produit d’abord des courts-mĂ©trages, comme Pile Poil, rĂ©compensĂ© par le CĂ©sar 2020 du meilleur court-mĂ©trage.

Aujourd’hui, j’apprends Ă  travailler sur des formats longs, principalement de fiction. Mon credo : avec un bon scĂ©nario et une bonne Ă©quipe, tout est possible (ou presque).


Je me suis formĂ© sur le tard, comme Ă  La Femis, sur l’expertise de scĂ©nario de fiction, mais aussi en post-production, en finances, en droit. Je suis aussi membre de commissions d’aides cinĂ©ma, du Syndicat de la Production IndĂ©pendante (SPI), de l’AcadĂ©mie des CĂ©sar.


Ancien “boy scout”, j’ai gardĂ© le goĂ»t du collectif, de l’improvisation sur le terrain
 et surtout de l’optimisme en toute situation. Ce qui tombe plutĂŽt bien quand on dirige une boite de cinĂ©ma indĂ©pendant, n’est-ce pas ?

Quand je ne produis pas, je refais le monde autour d’une chicorĂ©e (je ne bois plus de cafĂ©), je m’émerveille devant des photos anciennes ou je bronze en terrasse.


A.B.